Tarik avait 22 ans lorsqu’il est parti, victime d’un accident de voiture. Aujourd’hui, chaque fois que je passe devant sa tour, je sens sa présence. Ce portrait de lui, figé dans le rouge intense, est une représentation de sa force, de sa personnalité, de ce qu’il incarnait dans nos vies. Même après sa disparition, il reste une figure omniprésente, une silhouette dont l’ombre plane sur chaque coin de rue qu’il a traversé. Le rouge de l’arrière-plan symbolise l’intensité de ses années de vie, la passion qu’il dégageait, l’énergie qu’il avait. Comme si, d’une manière ou d’une autre, ce rouge devenait une empreinte de son passage, une marque indélébile dans nos mémoires.

Tarik était un jeune homme avec un regard déterminé, un sourire insouciant et une énergie débordante. Il vivait sans se poser de questions, avec une présence qui illuminait tout autour de lui. Mais la vie est parfois cruelle, et en un instant, un accident de voiture a emporté ce jeune homme qui, pourtant, semblait invincible. Aujourd’hui, sa disparition laisse un vide que rien ne pourra jamais combler. Mais chaque fois que je passe devant sa tour, je sais qu'il est là, quelque part dans l’air, dans les rues, dans l’écho de ses rires et de ses conversations.

Les hommes arabes, comme Tarik, grandissent dans un monde où chaque moment est précieux, chaque journée est une occasion de briller. Ce portrait, qui capte la force de Tarik à travers son regard déterminé, nous rappelle à quel point il est important de vivre pleinement, sans regrets. Même si la vie prend des tournants imprévus, il reste dans nos cœurs, dans nos souvenirs. La mémoire de Tarik, son énergie, sa présence, continuent de briller dans l’esprit de tous ceux qui l’ont connu. L’homme arabe n’est pas seulement celui qui vit, mais celui qui laisse une empreinte, qui, même après son départ, continue de faire résonner son passage dans les mémoires.